Concepts, Hôtel Dubaï (2007) AEQUOREA, Vincent Callebaut

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Hôtel Sous-Marin à Dubaï

L’eau sera construit en partie sous l’eau. Il aura deux disques. Une eau au-dessus et l’autre immergée, qui sera de 10 mètres de profondeur. Les deux sont reliés par des escaliers et des ascenseurs, qui permettent l’accès aux chambres.  L’hôtel disposera de 21 chambres, un hall d’accueil et un bar. Les chambres ont des parois transparentes, avec un éclairage spécial. Ainsi, vous pourrez même voir les plus petits sports aquatiques. devrait coûter 120 millions de dollars. La société responsable de la conception de l’hôtel est la technologie Deep Ocean (DOT). Il précise que toutes les mesures de sécurité seront prises pour que les clients ne courent aucun risque. L’objectif du ministère des Transports est qu’une partie est construite au-dessus du niveau de la mer, assez haut pour que nous ne prenons pas de risques en cas de tsunamis et les inondations. À son tour, la partie immergée sera un mécanisme pour augmenter automatiquement à la surface en cas de danger. Avec ce projet, Dubaï devrait recevoir une autre innovation. Le ministère des Transports estime que hôtel vont de l’eau a également ouvert un nouveau champ pour la création d’écosystèmes sous-marins.




L’entreprise d’architecture russe Remistudio a pris le concept d’une biosphère artificielle et s’est rendue en mer avec sa vision de l’hôtel flottant « Ark ». Conçu pour résister aux inondations, aux marées et à l’élévation des niveaux de l’océan ainsi que des tremblements de terre et d’autres catastrophes naturelles, le concept de l’hôtel flotterait et fonctionnerait indépendamment à la surface d’un plan d’eau, fournissant un environnement vert et autonome pour les clients qui, vraisemblablement, N’aurait jamais à partir ! Normalement ! Le design Ark de coquille possède un système d’arpents et de câbles qui maintient une répartition uniforme du poids pour résister aux tremblements de terre, tandis que le cadre préfabriqué permet une construction rapide et facile. Le jardin intérieur offre une évasion luxuriante pour les invités en agissant comme serre et suffisamment de lumière du jour est filtrée dans les salles internes pour réduire le besoin d’éclairage. Le design intègre également des cellules solaires photovoltaïques, un système de collecte des eaux pluviales et un cadre qui est protégé par une couche d’éthylétrafluoroéthylène (ETFE) autonettoyant et recyclable – le même matériau utilisé dans le Centre aquatique national de Pékin  Mis à part les éco-titres, c’est un design étonnant qui semble sortir directement d’un film de science-fiction. Nous ne pouvons qu’espérer que les pires prévisions du réchauffement climatique s’avèrent inexactes et ne deviennent pas la destination de vacances du 22ème siècle choisie. L’arche a été conçue par Remistudio avec l’aide du programme de l’Union internationale des architectes « Architecture for Disaster Relief ».

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AEQUOREA, LA VILLE AUTOSUFFISANTE


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SUBAQUATIQUE IMPRIMÉE EN 3D


Ce « gratte-océan » est imprimé en 3D dans un matériau composé d’algues et de déchets plastiques marins recyclés…Vincent Callebaut, architecte notamment connu pour avoir été missionné par la ville de Paris afin d’imaginer à quoi pourrait ressembler la capitale française d’ici trente ans dans le cadre du projet Paris Smart City 2050, a tout récemment dévoilé un nouveau projet « futuriste », baptisé Aequorea.


Comme à son habitude, l’architecte Français joue ici sur une symbiose retrouvée entre nature, éco-responsabilité et urbanisme. C’est à travers une lettre ouverte fictive, écrite par Océane, jeune fille de 15 ans et citoyenne d’Aequorea en 2050, que le projet est présenté. Aequorea est un « gratte-océan », véritable village flottant imprimé en 3D grâce à un matériau composite fait d’algues et de déchets plastiques recyclés du « 7ème continent », où 27 millions de tonnes de détritus produits par l’humanité s’entrechoquent, emprisonnés par les courants marins. Bio-inspiré, le projet du cabinet d’architecte tire son nom de celui d’une méduse. Construit en différents étages, on y accède en surface par le biais de quatre marinas, permettant d’accoster sous un dôme de 500 mètres de diamètre, où se mélangent serres, champs d’agriculture biologique et potagers communautaires. Sous l’eau, quatre tentacules permettent à l’Aequorea de « nager », pour assurer une stabilité, empêcher tout mal de mer, et créer l’énergie nécessaire à son développement.


Autosuffisante, cette cité subaquatique utilise de multiples moyens renouvelables pour fournir l’électricité à ses 20 000 habitants potentiels, rebaptisés « aquanautes » dans le discours d’Océane. Aux champs d’hydroliennes tapissant le fond marin s’ajoute, entre autres, une centrale océanothermique, utilisant le différentiel thermique entre les eaux chaudes de surface et celles plus froide des profondeurs pour produire davantage d’électricité. Elle permet également, grâce à un procédé de séparation de l’eau et du sel, de rendre l’eau de mer douce et potable. Aequorea devrait s’enfoncer jusqu’à mille mètres sous la surface, sur 250 étages, qui accueilleront des logements, mais aussi des fablabs, des bureaux, des espaces de coworking, des fermes sous-marines ou encore des laboratoires scientifiques. Bien évidemment encore au stade de recherche et développement, le coût de construction d’un tel projet est aujourd’hui estimé à environ1950 euros par mètre carré par Vincent Callebaut Architectures.


Crédit Photo : © Vincent Callebaut Architectures


VINCENT CALLEBAUT


Anti-Smog : une bouffée d’oxygène pour Paris

Anti-Smog n’est pas un titre de film de sciences fiction mais bien le nom d’un projet de l’architecte belge Vincent Callebaut. Ce site futuriste et écologique a pour objectif de recycler et purifier l’air pollué de la région parisienne. Ici, on pense développement durable, on consomme énergies renouvelables et on construit design ! Découvrez le projet en images.

Soucoupe volante, ville futuriste Non, ici, on entre tout simplement dans la sphère de Vincent Callebaut. Ce jeune architecte a imaginé Anti-Smog, un bâtiment écologique et design composé de deux structures 100% développement durable. De formes originales, elles sont étroitement reliées l’une à l’autre par une passerelle.

Situé dans le 19ème arrondissement de Paris près du Canal de l’Ourq, ce prototype écologique se veut autosuffisant, réactif à son environnement et surtout dépolluant. Le premier bâtiment, baptisé Solar Drop, ressemble à une soucoupe volante. Il possède une toiture bleue photovoltaïque de 250 m2 qui capte les rayons du soleil pour les transformer en énergie. Elaborée à partir de matières «vertes» (dioxyde titane, fibre de polyester…), sa superstructure permet de réduire la pollution de l’air. Solar Drop a également la capacité d’absorber et de recycler, par effet photo-catalytique, le nuage des gaz toxiques émis par le trafic parisien. Cosy et lumineuse, cette bulle écologique pourra abriter une cafétéria et une grande salle polyvalente d’expositions.

Étroitement rattachée au Solar Drop, la tour des vents (Tower Wind) s’élève dans le ciel à 45 mètres de haut telle une spirale qui monte à l’infini. Constituée de verre, la façade se dédouble pour laisser apparaître une structure en fibre de polyester recouverte de coussins végétaux. De plus, des petites éoliennes fixées verticalement se nichent dans des petites fentes. Objectif de cet équipement : récupérer les vents dominants. Au sommet du bâtiment, un jardin suspendu vient terminer la course de la spirale. Si pour l’instant, ce projet demeure hypothétique, il n’en reste pas moins audacieux tant sur le plan architectural qu’environnemental. Défi de taille donc pour cette «greffe urbaine» qui ambitionne de purifier l’air de Paris.


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VINCENT CALLEBAUT


 

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Cet architecte belge qui rêve d’un avenir durable ultra moderne !

Trois Eco-spirales entrecroisées

Chaque galet est un véritable éco-quartier de ce nouveau modèle de ville verticale. Structurellement, ils sont constitués d’anneaux en aciers qui viennent se cintrer autour de double-decks horizontaux. Ces anneaux sont reliés à la colonne vertébrale centrale par des poutres Vierendeel qui permettent un maximum de flexibilité et de modularité spatiale. Ces immenses poutres forment un plan en croix qui reçoit la programmation individuelle de chaque galet. Les espaces interstitiels entre cette croix et la peau des mégalithes accueillent de grands jardins suspendus nourriciers sous forme de serres agricoles. Véritables pierres vivantes jouant de leur porte-à-faux, les galets cristallins sont éco-conçus à partir des énergies renouvelables. A ciel ouvert, un épiderme de cellules solaires photovoltaïques et photo thermiques ainsi qu’une forêt d’éoliennes axiales recouvrent les toitures zénithales ponctuées de vergers et de potagers suspendus. Chaque galet présente ainsi un bilan énergétique positif, autant sur le plan électrique, calorifique, que alimentaire. Le projet « Asian Cairn » synthétise notre philosophie architecturale qui transforme les villes en écosystèmes, les quartiers en forêts et les édifices en arbres matures transformant ainsi chaque contrainte en opportunité et chaque déchet en ressource naturelle renouvelable ! Le master plan est conçu sous forme de trois spirales entrecroisées qui représentent les 3 éléments que sont le feu, la terre et l’eau, tous organisés autour de l’air se trouvant au milieu. Chacune des spirales vient s’enrouler autour de deux tours mégalithiques et forment des écosystèmes urbains réimplantant la biodiversité au cœur de la Cité sous forme de vastes vergers publics et de champs d’agriculture urbains. De grands bassins de viticultures et de vastes lagunes de phyto-épuration y recyclent les eaux grises rejetées par les fermes verticales habitées.

© Vincent Callebaut Architecte




© Vincent Callebaut Architecte


 



les cités bioniques de Vincent Callebaut

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« Ville dans le ciel » est un concept sur une oasis tranquille imaginaire au- dessus de la ville méga développée et polluée où l’ on peut échapper à la bruit quotidien et le stress. Le concept est inspiré par la fleur de lotus qui est connu pour sa capacité à émerger au- dessus des eaux troubles pures et propres. Bien qu’il soit réaliste présenté, le concept n’a pas l’intention d’être réaliste en termes de structure d’ ingénierie ou milieu de vie réel. la musique et la conception sonore par Georgi Marinov.


Zaha Hadid



 

 

 

 

Virginie Maneval

Je suis la Fille de Jean Benjamin Maneval, célèbre architecte urbaniste qui a notamment créé la Bulle Six Coques, une maison en plastique des années pop. Vous pouvez aussi me retrouver sur ma page Facebook Bubblemania.fr ou sur ma page La Bulle Six Coques de Jean Benjamin Maneval.

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