Paul Arzens, France

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Une caricature de Paul Arzens original et de date inconnue.

Paul Arzens (1903-1990)

Paul Arzens est un créateur français reconnu pour ses réalisations ferroviaires ainsi que ses extraordinaires automobiles construites à partir de 1938. On pourrait qualifier Paul Arzens de bricoleur de génie, lui qui était un artiste aussi ! Notre homme s’est rapidement intéressé à l’esthétique des machines après être sorti de l‘Ecole Nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris. Dès 1938, il réalise des travaux sur le cuivre avant de se lancer dans l’automobile, il réalise au cours de cette année « La Baleine », un cabriolet aux lignes sculpturales réalisé sur un châssis Buick. Plus tard, après la seconde guerre mondiale, Paul Arzens fut l’interlocuteur de la SNCF pour qui il concevra le design des locomotives BB et CC, mais aussi les formes d’autorails panoramiques. Et l’on pourrait prêter d’autres qualités à Arzens, peintre, décorateur…Côté motorisation, c’est donc un moteur électrique qui permet de mettre en mouvement cette voiture. Celui-ci est alimenté par 300kg de batteries qui se situent dans la partie arrière et logé sous les fauteuils. Celles-ci offrent une autonomie de 100km (un exploit à cette époque) et le moteur permet une vitesse de pointe à 70km/h.


Arzens, en bon créateur, va concevoir sa propre voiture pour se déplacer dans la capitale : ce fut « l’œuf Electrique ». La forme de cette voiture interpelle, toute en rondeurs, une carrosserie réalisée en aluminium, mais matériaux qui se fait discret tant la surface laissée au vitrage est importante, lequel est réalisé en plexiglas. Un véhicule unique et atypique, qui surprend en son temps (et encore de nos jours) avec ces concepts modernes.

Contourner les restrictions de l’occupant au cours de la seconde guerre mondiale a été le soucis de nombre de personnes, mais quand il s’agit de la chose automobile et que l’on est artiste, on peut réaliser un véhicule hors du commun. Tel est le cas de Paul Arzens qui a construit sa propre voiture électrique en 1942 : l’Oeuf Electrique. En 1942, il a conçu et construit le « oeuf électrique » conçu pour votre usage quotidien. Cette deux places et trois-roues était électrique. Il a été réalisé en aluminium et recouvert d’une sphère de plexiglas. Le moteur, un monocylindre 125 cc et 5,5 ch. Permettre à la voiture d’atteindre une vitesse de 80 km / h. La conception de cette voiture illustre incontestablement la volonté de Arzens à l’approche constitue un œuf.


Mais pour cette article, nous nous cantonnerons à la seconde guerre mondiale; la France, et notamment Paris vit sous le joug de l’occupant qui impose un rationnement. L’automobile est touchée avec l’essence qui devient une denrée rare, faisant ressortir les chevaux et bœufs comme moyen de locomotion, mais aussi l’automobile électrique qui refait surface après avoir été oubliée.

Mais après la seconde guerre mondiale, Arzens a finalement troqué son moteur électrique contre un petit 125 cm3 d’origine Peugeot. L’œuf Electrique est resté la propriété de Paul Arzens jusqu’à son décès en 1990, qu’il utilisait de temps à autre. A son décès, l’ensemble de ses œuvres, l’œuf électrique compris, ont rejoint les collections de Musée des Art et métiers en 1993 qui l’expose au sein de la Cité Automobile de Mulhouse. Contourner les restrictions de l’occupant au cours de la seconde guerre mondiale a été le soucis de nombre de personnes, mais quand il s’agit de la chose automobile et que l’on est artiste, on peut réaliser un véhicule hors du commun. Tel est le cas de Paul Arzens qui a construit sa propre voiture électrique en 1942 l’Oeuf Electrique.

L’œuf Electrique n’est pas qu’une simple voiture, elle est le fruit d’un travail de réflexion sur l’utilisation de l’automobile en milieu urbain. Certes, la traction électrique est choisie par nécessité afin de contourner les restrictions de carburant imposée par l’occupant, mais Arzens n’aura de cesse de vendre la voiture électrique comme étant l’avenir de la ville : pas de pollution, simplicité d’utilisation, silencieuse, petite taille… La carrosserie, on en a parlé, utilise deux matériaux modernes pour son époque et qui présentent tous deux l’avantage d’être léger. La voiture est conçue comme un espace dans lequel deux passagers doivent prendre place, c’est ainsi que la forme de l’œuf fut retenue, car permettant de dégager un vaste habitacle tout en prenant une taille modeste. Le châssis quant à lui est réalisé en Duralinox, il s’agit d’un simple tube relié à la fourche élastique de la roue arrière, laquelle permet de conserver une assiette correcte ainsi qu’une bonne tenue de route.


Électrique BB 9004 SNCF La locomotive prototype BB 9004 est ici conservée à Mulhouse : la Cité du train.

Paul Arzens, (1903-1990) est un créateur français reconnu pour ses réalisations ferroviaires ainsi que ses extraordinaires automobiles construites à partir de 1938.


Artiste et bricoleur de génie, il a vécu les débuts de la prise en compte du facteur esthétique appliqué aux machines. Du début des années 1950 aux premiers projets de trains à grande vitesse, à la fin des années 1960, Paul Arzens a été l’interlocuteur privilégié de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) en matière de design et de décoration. Joignant aspects ludiques et professionnels, il utilisait le circuit de son atelier, rue de Vaugirard à Paris, pour tester, puis valider ses idées esthétiques sur des matériels en mouvement. Mais, où est donc le moteur ? La 3233-WO, projet de voiture de Paul Arzens, 1951 Un article de La Revue de l’Aluminium (juillet-août 1951, n° 179) relate ainsi l’étonnement des passants devant un drôle d’engin aux formes « un tantinet Louis XV ». Il s’agit de la toute nouvelle petite voiture populaire économique conçue par l’artiste designer mécanicien Paul Arzens.

Dès 1937, il avait réalisé à la main des modèles en cuivre aux formes révolutionnaires. Depuis cette époque, il avait eu l’idée de concevoir des cabines de conduite avec une face très légèrement arrondie ainsi qu’un vitrage développé sur les faces latérales. Ces propositions seront reprises, à partir de 1957, sur les locomotives de la grande famille BB 9200, BB 16000 et BB 25200.


Une très riche imagination lui permet, parallèlement à ses travaux pour la SNCF, de dessiner des avions futuristes et de fabriquer lui-même plusieurs voitures dont les plus célèbres sont La Baleine, réalisée en 1938 sur un châssis de Buick et L’Œuf électrique, construite en 1942. Réalisée en aluminium et surmontée d’une sphère en plexiglas, cette voiture illustre d’une manière frappante la volonté d’approcher la forme idéale de l’œuf. Elle était équipée d’un moteur électrique avec cinq batteries totalisant 300 kilogrammes pour une autonomie de 100 kilomètres et une vitesse de pointe de 70 km/h1. Paul Arzens a utilisé ces voitures jusqu’à la fin de sa vie et était le seul à pouvoir les conduire.


Outre les locomotives des années 1950, Paul Arzens a conçu les formes des autorails panoramiques mis en service à partir de 1959 et équipés d’un vistadôme central offrant aux voyageurs une vue panoramique sur le paysage. Adaptant la forme des locomotives à pare-brise incliné construites par Alsthom pour les chemins de fer de Finlande, il a mis au point, sur les locomotives de la série CC 40100, une nouvelle forme de face avant et arrière qui s’inspirait, disait-il, de la position du « sprinter dans son starting block ». Cette forme particulière sera à l’origine d’une famille de locomotives surnommées les Nez cassés.On lui doit également un nombre impressionnant de décorations pour diverses séries de locomotives ou de voitures. Il effectuait des essais sur des modèles réduits du commerce à l’échelle HO qu’il testait en mouvement sur le réseau de son atelier agrémenté d’un décor peint de sa main. Il avait, à ce titre, pu vérifier la manière dont la future livrée du Capitole s’intégrait dans le paysage.
C’est Paul Arzens qui, le premier, a commencé à dynamiser l’image du chemin de fer en donnant au matériel des couleurs qui tranchent avec le célèbre « vert wagon ».


Arzens était un excellent peintre (de tradition classique), il possédait une grande quantité de tableaux qu’il refusait de vendre, sauf à de rares amis, car disait-il, chacun lui rappelait quelque chose. Pour son plaisir, il a même réalisé quelques sculptures.En plus de la SNCF, il a travaillé pour la RATP, et a ainsi été le décorateur de plusieurs stations de métro.


Parallèlement à ces travaux, Arzens met à profit une créativité prolifique pour dessiner des avions futuristes et pour construire des véhicules automobiles. En 1938, il s’approprie le châssis d’une Buick Standard américaine et l’habille d’une imposante et impressionnante carrosserie inspirée de l’aviation, donnant ainsi naissance à la « Baleine » .
En 1941, il a fait une voiture électrique avec un corps en aluminium aérodynamique de 5 mètres de long, sur le châssis d’une Fiat 1924. Il était équipé d’un moteur électrique de 10 ch, qui a travaillé avec 24 batteries 12V 250A. Elle pesait 1100 kg., Et avait une portée de 300 km. Après la guerre, la voiture a été modifiée en apparence et converti à l’essence.

 


PARIS, FRANCE – 1944: designer industriel français Paul Arzens et sa voiture « La baleine » en 1944 à Paris, France – Paul Arzens (1903-1990) est un créateur français reconnu pour ses réalisations de chemin de fer, ainsi que ses voitures extraordinaires construites à partir de 1938 . (photo par Robert DOISNEAU / Gamma-Rapho via Getty Images)


Par comparaison (ci-dessous) une version Electrique (Version d’origine) les 2 Voitures ont des lignes assez similaires mais bien-sûr ce modèle électrique n’a plus besoin des grilles d’aération. 

Par comparaison une version Electrique (Version d’origine) les deux Voitures ont des lignes assez similaires mais bien-sûr ce modèle électrique n’a plus besoin des grilles d’aération.

Voitures électriques : voiture à carrosserie en aluminium de Paul Arzens (au volant). Un coupé fabriqué par les ateliers Bréguet. Paris, juillet 1942.

Pierre Faure (1941-1947)

FAURE est l’œuvre de Pierre Faure, un ancien ouvrier de chez Breguet qui commençait à produire des voitures électriques pour se diversifier et permettre à ses usines de Toulouse de fonctionner. FAURE est une voiture de conception très simple, sa carrosserie repose sur un châssis poutre qui supporte le moteur mais aussi les six batteries qui servent à l’alimenter, l’intensité totale est de 100 Ampères, la tension de 72 Volts. Pour autant, la FAURE est relativement légère car elle affiche sur la balance 550kg. Quant aux performances, la FAURE pouvait parcourir entre 50 et 75km avec ses batteries chargées, et filer jusqu’à la folle vitesse de 45km/h. Le rechargement quant à lui pouvait être effectuée depuis n’importe quelle prise domestique de 110 Volts, il prenait alors 12 heures. En option, la société Pierre Faure commercialisait un transformateur qui permet de recharger la voiture avec du 220 Volts dans un temps moindre. Certes, la Faure était une voiture contraignante, mais bien moins que l’obtention de bons de carburant distribués au compte-goutte, sans oublier que la Faure reste malgré tout économique : 6 Francs permettaient une recharge complète des batteries à Paris au cours de la guerre. Selon les publicité de l’époque, la Faure coûtait à l’usage plus de 10 fois moins chère qu’une voiture à essence.. Quant à la carrosserie, la Faure avait la particularité d’avoir ses phares sous le capot avant, des petites vitres permettaient de laisser passer la lumière vers l’avant. La carrosserie était réalisée en bois, faute de trouver mieux alors, et ses voitures étaient disponible en « berline deux places », « berline trois places » et en camionnette.

Pendant la seconde guerre mondiale, la France vit à l’heure du rationnement, le reste des ressources sont prises par les occupants pour mener à bien leur front de l’est. L’essence fait parti des denrées rares, à tel point que le cheptel automobile se réduit à peau de chagrin. Pour contourner cette impossibilité de rouler, le gazogène est mis au point, mais aussi les voitures électriques. Je vous propose de prendre connaissance avec l’une d’elles, la FAURE.


Électrique CC 6572 SNCF

Les CC 6500, d’imposantes machines à l’esthétique dû au talent de Paul Arzens, revêtaient la livrée « Coup de soleil » qui se mariée parfaitement avec les voitures Grand Confort du Capitole. La CC 6572 est conservée à Mulhouse dans sa livrée d’origine.

Aujourd’hui, trouver une Faure relève du miracle, au moins deux exemplaires sont encore connus de nos jours..


Électrique BB 20210 SNCF – Locomotive électrique polytension BB 20210 SNCF en livrée d’origine au musée de la Cité du Train à Mulhouse.


Une CC 7100 du record du monde de vitesse fort mal née !



Formé à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, Paul Arzens (1903-1990) est connu pour avoir dessiné de nombreux véhicules ferroviaires pour la SNCF et Alsthom. On lui doit notamment les faces arrondies des motrices électriques de la famille « Jacquemin » (BB 9200, BB 16000 et BB 25200) des années 1960, ou encore le profil « nez cassé » des locomotives des années 1970 (CC 6500, CC 21000, BB 15000).


Un style Arzens conçu « nez cassé » de locomotive pour les chemins de fer français (SNCF), à partir d’une famille de locomotives construites à partir de la fin des années 1960 dans les années 1970. Arzens était responsable de la conception des locomotives de chemin de fer français des années 1940 jusqu’aux années 1970. La locomotive de série CC7100 Arzens style. Avec la puissance délivrée à toutes ses roues, a réalisé divers records de vitesse: son record 1955 une locomotive électrique était ininterrompue depuis plus de 25 ans.


Paul Arzens second prototype est construit sur un châssis Fiat beaucoup plus léger. Il est un véhicule électrique revendiquant une portée de 200 km à 65-70 km / h.

Rétromobile 2010 – 23 Janvier 2010 Comme chaque année, je suis allé faire un tour du côté de Rétromobile. La « Baleine » réalisée par Paul Arzens Avec la Baleine, Arzens conciliait ses deux passions : L’art et l’automobile. Il transportait son matériel dans le vaste coffre et utilisait l’habitacle comme atelier. La Baleine utilise un châssis de Buick et dispose d’un moteur 17 CV de 3500 ccm, elle peut atteindre la vitesse de 160 Km/h.

Avec 500 véhicules dont 464 automobiles de 98 marques, dont la célèbre collection de Fritz Schlumpf, qui retracent l’histoire de l’automobile européenne de 1878 à nos jours. La collection, située dans une ancienne filature de 1880 de 20 000 m2, comprend plus de quatre cents pièces classées au titre des monuments historiques et le plus important ensemble d’automobiles antérieures à 1910 avec le musée Louwman de La Haye.C’est également la plus importante collection de Bugatti au monde avec deux des six fameuses Bugatti Royale dont la Coupé Napoléon ainsi qu’une importante collection de Rolls Royce.

La Cité de l’automobile – Musée national – Collection Schlumpf de Mulhouse est l’un des plus grands musée d’automobiles au monde.

La Cité de l’Automobile


PARIS, FRANCE 1944
Designer industriel français Paul Arzens et sa voiture « La baleine » en 1944 à Paris, France – Paul Arzens (1903-1990) est un créateur français reconnu pour ses réalisations de chemin de fer, ainsi que ses voitures extraordinaires construites à partir de 1938 (photo par Robert DOISNEAU).


MUSEE DES ARTS ET METIERS 


L’oeuf électrique de de Paul Arzens, Inv. 40937

Musée des arts et métiers / C. Company


L’Oeuf Electrique de Paul Arzens (1942)


Paul Arzens avec sa voiture électrique, inventé et construit par lui-même.

Paul Arzens était un artiste et designer industriel français, né à Paris en 1903 et mort en 1990. Il a conçu plusieurs modèles de voitures, mais a excellé dans son travail pour la SNCF, où il a conçu des locomotives, des wagons et des wagons au cours des années 1940, 50 et 60. la plupart des locomotives sont encore en service. Il a également fait un travail pour la RATP, où il a contribué à la conception des stations de métro de Paris.



L’œuf électrique de Paul Arzens 1942



Tout en rondeur et en brillance, l’œuf électrique est une automobile plus qu’atypique, véhicule unique qui surprend encore Aujourd’hui par la modernité de sa conception et de ses lignes.



Ce véhicule fut construit en 1951 par Paul Arzens, bricoleur et inventeur de génie qui a révolutionné les codes de l’art et de l’esthétique industrielle. Ce véhicule fut construit en 1951 par Paul Arzens, bricoleur et inventeur de génie qui a révolutionné les codes de l’art et de l’esthétique industrielle.


Véhicules électriques au futur antérieur Si le véhicule électrique est revenu sur le devant de la scène, c’est en fait une énergie aussi ancienne que l’automobile. Une petite vignette sur le sujet avec notamment l’Oeuf de Paul Arzens, le prototype Ford Berliner et le scooter électrique Flankel.


Petite Anecdote ci dessus :

Et de mon coté j’ ai passé au mixeur l’engin avec une Alpine -Renault A442 . Bref, le truc est complétement décalé , on reconnait bien l’ A442, son aileron, les prises d’airs, mais ainsi que l’embryon central de la Carrosse, très reconnaissable.


L’Arzens Carrosserie de 1951  c’est un concept car de l’ingénieur Paul Arzens à la base, qui ressemblait a une sorte de voiturette  mini carrosse motorisée.

Modèle du designer français Paul Arzens en 1951.


La guerre finie, les batteries sont remplacées par un moteur thermique à essence Peugeot de 125 centimètres cube. Resté propriété d’Arzens jusqu’à son décès en 1990, l’œuf électrique rejoint les collections du Musée des arts et métiers en 1993 dans le cadre d’une exceptionnelle dation comprenant les principales automobiles du designer et des modèles réduits ferroviaires. Les automobiles sont depuis déposées à la Cité de l’automobile de Mulhouse (Haut-Rhin). L’œuf électrique en est revenu temporairement pour être traité par les ateliers de restauration du Musée des arts et métiers : soigneusement dépoussiéré, il a été placé sur un socle facilitant son transport et sa présentation au public. À cette occasion, la boîte à outils de Paul Arzens, comprenant diverses clés et une pompe à bicyclette, a été retrouvée sous la banquette.


À l’arrière, Arzens place cinq batteries totalisant un poids de 300 kilogrammes, offrant une autonomie de 100 kilomètres et autorisant une vitesse de 70 kilomètres/heure.

Le châssis est constitué d’un tube en Duralinox relié à la fourche « élastique » de la roue arrière : cette disposition permet de garder une assiette correcte tout en plaçant le centre de gravité très bas, d’où un confort de conduite des plus agréables.


Quatre ans plus tard, contournant les restrictions de carburant imposées par l’Occupant, Arzens conçoit un véhicule révolutionnaire : l’œuf électrique. Mobilisant des matériaux légers et modernes, l’aluminium et le Plexiglass, Arzens imagine une caisse ne comportant qu’un seul espace dans lequel peuvent prendre place le conducteur et un passager.

Un musée se prépare à lancer une exposition de quelques-unes des voitures sleekest et les plus futuristes jamais conçus. L’exposition Dream Cars mettra en vedette 17 concept cars des années 1930 au 21ème siècle et comprend non seulement une Porsche et une Ferrari, mais une voiture de bulle bizarre, une Lancia en forme de coin et un Batcar style Cadillac Cyclone. L’exposition présente ce que les Européens et les Américains pensaient que les voitures de l’avenir pourrait ressembler. L’exposition a lieu au High Museum of Art d’Atlanta en Géorgie, Etats-Unis, et aussi en vedette le en forme de fusée Generals Motors Firebird I, le accrocheur Ferrari Pininfarina et la bouche-arrosage BMW Gina. Concept cars comme celles-ci font rarement sur le marché et sont purement pour mettre en valeur le domaine du possible. L’exposition ouvre le 22 mai et dure jusqu’au 7 Septembre directeur du musée Michael Shapiro a déclaré: «Notre exposition précédente a été extrêmement réussi à amener de nouveaux publics au musée.


La voiture oeuf électrique de Paul Arzens – 3Dsmax/Vray-G Dingeon 02/2012





Restauration en cours du « Carrosse » de Paul Arzens pour le Patrimoine des Arts et Métiers.



Voiturette tricycle  » Baby Rhône « 


En 1944, un autre membre (un peu dandy) de la famille possédait également un véhicule électrique. On le voit sur la photo avec mon père (et ses lunettes rondes), mon oncle Bernard  (le plus petit),  les 2 autres frères et leur sœur, Monique, devant la maison de mes grands-parents à Pont-de-Claix (38). Brigitte ARZENS, la fille de Paul, avec qui j’ai la joie d’avoir repris contact, m’indique qu’il s’agissait d’une voiturette tricycle  » Baby Rhône « .



 

Virginie Maneval

Je suis la Fille de Jean Benjamin Maneval, célèbre architecte urbaniste qui a notamment créé la Bulle Six Coques, une maison en plastique des années pop. Vous pouvez aussi me retrouver sur ma page Facebook Bubblemania.fr ou sur ma page La Bulle Six Coques de Jean Benjamin Maneval.

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